Chasse, loot, nature et « traditions » partie 2.

Horizonardes, horizonards, bonjour !


Les recherches d’Aloy la menèrent au cœur de la terre. D’un premier indice arraché à la Nora Dral de la Couronne de la Mère, voici que notre aventurière fit la découverte de son premier creuset, « SIGMA ». Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la Nature y avait très largement laissé sa place à la Machine, leurs cœurs, amalgamés, battant aux pulsations des lasers à souder et des cargaisons à déplacer.

L’envie de se diriger droit vers Méridian pour y trouver d’autres réponses ou du moins quelques indices se faisait pressante. Mais c’était sans compter sur la halte proposée par la zone de chasse de Fourchevallon, sur la route menant à la frontière entre les Terres Sacrées et le territoire Carja marquée par Rempart.

Un arrêt presque regretté au regard de l’accueil du gardien du coin, dont dire qu’il était antipathique ne constituerait qu’un mauvais euphémisme.

Aussi, et cela tombait très bien, les épreuves du jour allaient se dérouler rapidement. L’arène, très ouverte, fut évaluée dans son entièreté dès le petit jour. Trois monticules reliés en triangle par des allées plus ou moins longues, avec un îlot central. Toujours ses herbes hautes, d’accord, néanmoins il y avait moins de relief que lors de la zone de chasse précédente. Aussi, malgré les cachettes qu’elles permettaient, cela s’avèrerait sans nul doute sportif de courir d’un spot à l’autre sans se faire repérer. Mais passons au plus important, les proies qui se la partageaient, un troupeau de galopeurs légèrement éparpillés, et deux cracheurs boursouflés (de feu et de gel).


  1. Et nous voici presque jeté dans le « Feu ». Fort d’une modeste est surtout inattendue expérience acquise dans la zone de chasse Nora, l’idée est de patienter, le temps que les galopeurs se regroupent. Il n’y a pas que la pêche (aux loots) qui réclame calme et constance, la chasse également est parfois affaire de flegme. À partir de ce constat, cette quête n’a rien de compliqué. Une flèche bien placée, et en avant le feu d’artifice. Vous allez très vite constater que l’explosion est conséquente. Donc, et si cela a marché pour moi, je ne vois pas pourquoi il en serai autrement pour vous, attendez que quatre terravores se regroupent, inutile d’aller au corps à corps et visez bien ! Rapidement par ici.
  2. Il en va de même pour « Électrocution ». Le focus, qui a fait bien des merveilles jusqu’à maintenant, vous aidera à apprécier le trajet du cracheur le plus proche. Prévoyez son cheminement, puis poser un simple piège électrique une fois qu’il se trouvera éloigné de la faune locale. Sans stresser – merci la concentration – ôtez le cache ventral protégeant les bonbonnes une fois l’animachine les deux pattes en l’air. Le reste est presqu’affaire de pas chassés. Alors, évidemment, à ce stade du jeu, il est intéressant d’orienter son armement vers les dégâts de Déchirure. Et si pour cela vous optez pour l’arc de précision, sans chercher à trop verser dans le theorycrafting, je pense qu’il ne faut pas négliger également les boosts amenés par des bobines augmentant le maniement. Pour terminer, je tiens à préciser que j’ai tenté également de faire chuter la bête avec le lance-corde. Mais une fois au sol, malgré l’arrachement des bonbonnes, cela ne permet pas de valider un quelconque soleil. En lecture plus visuelle par-là.
  3. La dernière épreuve, « Gel », est plus chaude qu’indiquée. Malgré le temps de réalisation laissé, plus long que les deux précédentes escarmouches, n’ayant pas du tout orienté mon arbre de talent autour des dégâts physiques directs, j’ai tout de même opté pour du martelage de touches. Oscillant entre les bombes à gel et les attaques lourdes, heureusement que l’arène est petite, sans quoi il serait facile de se perdre en courant après les galopeurs. Si vous avez de la chance, et/ou du talent cela va de soi, vous gèlerez deux, voire trois cibles à la fois. La contrainte étant de les tuer durant la phase où elles seront glacées. Je n’ai à l’heure actuelle pas encore débloqué la capacité renversement, mais coûtant six points, elle peut être une aide à ne pas négliger pour ce combat. A consommer avec un milk-shake s’il vous plait !


« Tu peux toujours revenir mais . . . retiens-toi ». Sur ces paroles, presqu’emplies d’une certaine sagesse, il est évident que le carja garde des lieux et du troupeau n’allait guère revoir notre aventurière. Si ce n’est peut-être virtuellement par quelques messages lui racontant les exploits futurs d’Aloy. Il nous arrive parfois de rencontrer des personnages si mal-avenants que, finalement risibles, leur attitude nous rappellent sans conteste à quel point la peur de l’autre peut être porteuse d’excès dans les comportements. D’une pensée, la chercheuse Nora trouvera regrettable de ne pas l’avoir vu renier un résultat ou deux, ou de se voir refuser une récompense, bref, de percevoir plus de mauvaise foi de sa part, histoire de pouvoir gentiment, et sans trop état d’âme, lui tirer une flèche dans le @# !!§@, pour, je ne sais pas, lui donner une meilleure raison d’être comme il le fut. Enfin, tant que l’on ressort de cette étape avec des soleils ardents, après tout . . .

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